Coup de projecteur : une nouvelle auteure à Flagy !
Flagy est riche de ses talents : photographes, peintres, musiciens, vidéastes, dessinateurs et… auteurs !
Une de nos concitoyennes, Cynthia Mével, vous propose un essai, paru aux éditions du Panthéon, relatant de l’influence de la fleur de pavot et son dérivé “récréatif” : l’opium sur de grands auteurs tels que Cocteau, Wilde, Beaudelaire ou de Quincey. Tantôt substance médicinale, tantôt substance prohibée, Cynthia vous propose une analyse historique sur son influence dans nos écrits, de 1780 à 1914.

Cynthia Mével a exploré des domaines aussi variés que la littérature, la théologie et le droit. Diplômée d’un Master 1 en Langues, Littératures, Cultures Étrangères et Régionales de La Sorbonne Nouvelle, elle a également étudié le Malais-Indonésien pendant deux ans à l’Inalco.
Son ouvrage disponible en librairie, sur la Fnac ou Amazon

Email : cynthiamevel@gmail.com
Instagram: @theblacktuxedogirl
Communiqué de presse :
Cet essai analyse l’influence de la fleur de pavot sur les œuvres des
écrivains décadents entre 1780 et 1914. Substance alors médicalement prescrite, l’opium devint une muse obscure, inspirant des visions mystiques et des fantasmes interdits.
À travers les volutes de la « Fée Noire », les auteurs trouvèrent l’évasion
face aux contraintes d’une société en pleine industrialisation. Entre rêve, sensualité et mystère, découvrez comment l’opium a façonné certains des textes les plus envoûtants de cette époque : « Confessions d’un mangeur d’opium anglais » de Thomas de Quincey, « Les Paradis artificiels » de Charles Baudelaire, le « Portrait de Dorian Gray » d’Oscar Wilde et tant d’autres. Happée par l’esthétique et l’iconographie des auteurs décadents, Cynthia Mével a sondé l’aura d’interdit qui nimbe ces écrivains, notamment en raison de leur goût pour l’opium. Elle livre une réflexion inédite sur une dimension souvent occultée de leurs écrits.
Dans la presse locale :



